15 février 2013
Bribes ouïes (7)
Lieu : le plus beau parc de Paris, pentu à souhait
Temps : neigeux
Bribe ouïe-c'est-affligeant :
« On aurait dû prendre la caisse des chats, ça aurait fait une belle luge. »
23:11 Publié dans Bribes ouïes, Coups de griffe | Commentaires (0) | Lien permanent
08 février 2013
Ah, les bonshommes !... (promo 2013, suite)
On en tient un !
Conçu, vêtu, bichonnu par Valentine, Violette, Nièces de Lor et Lor de leurs blanches mains — forcément.
© Lor
Classieux autant que chicos, hein ?! Bravo, les filles !
Commentaire de la maman (du bonhomme et des filles) :
J'envoie ma modeste contribution avec ce bonhomme réalisé en janvier avec mes nièces, mais que l'on peut sans doute appeler « feu », au vu des températures printanières que l'on a eues depuis...
Tu notes qu'il ne fait aucun compromis en termes d'élégance.(...)
C'était difficile, de faire des bonhommes, ce jour là (avis que j'ai entendu chez différentes personnes) car la poudreuse était trop fraîche et s'effritait entre les doigts... je salue donc le mérite de tous les autres artistes en la matière. Personnellement, je suis rentrée gelée et j'ai eu l'onglée aux pieds et aux mains : un bonheur !
Merci, Lor ! Lor dit « feu », en raison d'un méchant redoux qui aurait été fatal à ce magnifique bohomme. Mais non, puisqu'il est ici, parmi nous... :)
Comment ça, « Blog faignant qui, non content de ne pas écrire de billets, emprunte sans vergogne les photos et textes des copains ! » ? Rappelons le principe de cette rubrique, à laquelle vous êtes vivement invités à contribuer ! Le réchauffement de la planète n'est pas une excuse valable pour y couper.
01:13 Publié dans Ah, les bonshommes !, Ronronnements de satisfaction | Commentaires (8) | Lien permanent
23 janvier 2013
¡Silba, amigo!
Une chanson dont on comprend les paroles, parce qu'elles ne sont ni couvertes par la musique, ni tellement ahanées par un rappeur sentencieux qu'on n'y entrave que pouic, à part que pépère cherche à nous donner des leçons... Une chanson qui ne vous bourre pas les esgourdes de je t'aime je t'aime tu ne m'aimes plus tu es parti(e) reviens come back I love you come back... (oui, ceci est un billet vieux et grincheux)
Une chanson qui raconte un langage, quasi disparu, permettant de se parler d'un côté à l'autre d'une vallée (nan, pas un portable, j'ai dit « langage » et « quasi disparu » !). Le langage en question est désormais classé par l'Unesco au patrimoine immatériel de l'humanité et enseigné aux enfants des écoles.
Il se « parle » à la Gomera, mais il existe aussi (existait ?) dans un coin des Pyrénées, et en différents endroits de la planète. Une petite recherche sur « langages sifflés » et « silbo gomero » vous en apprendra davantage, vidéos à l'appui, en plus de l'incontournable Wiki.
¡Gracias, Féloche, pour ton Silbo ! Chouette chanson sur laquelle on ne se lasse pas de se trémousser et en plus, l'image est jolie, hein ?
***
J'offre un gros paquet de caouètes à qui m'apprendra à siffler entre mes doigts. Pour le moment et malgré des années d'efforts, je n'aboutis qu'à de lamentables « pouèt » baveux, avec de temps en temps un semblant de sifflement, mais ça ne dure pas... :( J'envie les enfants de la Gomera !
00:24 | Commentaires (0) | Lien permanent
22 janvier 2013
Je traduis, tu traduis, ils traduisent ? (15) Tradactrice
Elle
— Chaque fois, c’est une langue étrangère. Un auteur vous propose son monde. Il faut aller dans cette terra incognita et le traduire. Voilà. C’est ça aussi, le rôle de l’acteur. C’est traduire.
Lui
— L'acteur est un traducteur ?...
Elle
— Oui.
Lui
— Belle idée.
Elle
— Tout autant qu'un passeur. Pour moi, c'est la même chose.
Lui
— Quand vous traduisez, est-ce que vous acceptez parfois de trahir un tout petit peu pour être au plus près de l’émotion ?
Elle
— Bien sûr. (...) De toute façon, le processus de travail est passionnant. C’est Maria Casares [argh, j'adore Maria Casares !] qui disait qu’elle n’aimait pas trop jouer mais qu’elle adorait répéter. Moi, je ne suis pas comme ça, j’aime de plus en plus jouer.
Elle, c'est l'actrice Anne Alvaro, et lui, c'est François Busnel, qui l'interview dans l'émission Le Grand Entretien, sur France Inter, le 21 janvier 2013 (vers 7').
Vers la minute 27, la traduction est de nouveau évoquée. Mots-clés pour dressage d'oreille : Shakespeare, auteur contemporain, traduit par le metteur en scène, ou traduit par André Markowicz.
On se régalera aussi à réentendre un extrait du film d'Agnès Jaoui, Le Goût des autres, où Anne Alvaro donne à Jean-Pierre Bacri sa première leçon d'anglais.
23:37 Publié dans À travers mots, Ceci n'est (vraiment) pas d'la critique radiophoni | Commentaires (4) | Lien permanent
21 janvier 2013
Ah, les bonshommes !... (promo 2013)
08:16 Publié dans Ah, les bonshommes !, Vadrouilles intra-Périf | Commentaires (2) | Lien permanent
20 janvier 2013
Le Paris de la blancheur
Pour les fondus en mal de neige, un petit diaporama.
21:49 Publié dans Vadrouilles intra-Périf | Commentaires (0) | Lien permanent