23 janvier 2014
Voeux 2014
Puisqu'il est encore temps de vous présenter mes vœux et que deux-trois semaines n'ont pas été de trop pour moi pour incruster de nouveaux sous-titres, cette fois en anglais, je fais remonter ce qui ferait bien mieux de rester dans les oubliettes suit :
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Autre idée de titre :
Pathetic DIY Home Video
Bonne année !
Le texte des sous-titres anglais a été revu et
fortement corrigé par Lakshmi Ramakrishnan Iyer,
à qui j'adresse mes plus vifs remerciements.
J'espère que cette collaboration
n'entachera pas son image de traductrice sérieuse,
par chance déjà bien établie.
Les autres collègues non-francophones prêts eux aussi
à ruiner leur réputation en proposant dans leur langue
une nouvelle version des sous-titres sont évidemment les bienvenus.
(sous-titrage en anglais et en français :
bouton en haut de l'écran puis cliquer sur EN ou FR)
16:25 | Commentaires (5) | Lien permanent
19 janvier 2014
Le traducteur traduit (4) - « C'est un cas de force majeure »
Rappelons que cette rubrique a pour but de décrypter et de traduire le langage du traducteur, plutôt moins jargonnant que celui d’autres professions mais parfois déconcertant tout de même.
Tout client peut s'entendre arguer, par une petite minorité de prestataires peu scrupuleux, d'un cas de force majeure obligeant à repousser un délai. Pourtant, le traducteur digne de ce nom doit avoir assez de conscience professionnelle pour être dûment vacciné contre la grippe, paré contre les virus informatiques et doté d'une famille tout aussi infaillible, afin d'éviter un retard dans la remise de son travail, n'est-ce pas ? Tu as raison, cher Donneur d'ouvrage : tu ne nous entendras pas souvent gratter quelques heures de sursis.
Même le pire tire-au-flanc n'osera te soutirer un report de délai supplémentaire sous le prétexte fallacieux, par exemple, que le rédacteur de ton texte a truffé celui-ci de citations énoncées, à l'origine, dans la langue vers laquelle il est censé les traduire, en s'abstenant bien d'en indiquer les auteurs et les sources, ce qui vaut au traducteur des heures supplémentaires de recherches et de sueurs froides pour les retrouver. Il préfèrera plutôt y passer ses nuits.
Cependant, si ton « prestataire de traduction » favori te soutient preuve à l'appui (et non trafiquée sous Photoshop) qu'il a été victime d'un imprévisible ralentissement de sa vitesse de frappe par le poids d'un élément perturbateur et quasiment paralysant, crois-le, car il s'agit là d'un véritable cas de force majeure. Accorde-lui de bon cœur la petite rallonge (mais non, pas financière, ce blog n'est pas grossier) qu'il sollicite de ta bienveillance à titre exceptionnel – jusqu'à la prochaine sieste de l'élément perturbateur.
15:31 Publié dans Chats, Le traducteur traduit | Commentaires (4) | Lien permanent
13 janvier 2014
Question
À quoi peut bien ressembler un marsupilami dalmatien ?
Les lecteurs qui voudront m'envoyer un dessin seront les bienvenus. Avec leur accord, leur œuvre sera reproduite ici.
20:42 | Commentaires (0) | Lien permanent
12 janvier 2014
On parle de nous ! De nous, vraiment ?
Le premier paragraphe de cet article n'évoque à la va-vite cette population de sous-fifres et de gratte-papiers (qu'elle soit extrêmement qualifiée et souvent bardée de diplômes ne saurait lui valoir le moindre prestige) que pour les distinguer de l'être supérieur étudié dans la suite de l'article, celui qui mérite que la presse se penche sur lui de temps à autre, quitte à aligner quelques bourdes sur son compte : le traducteur littéraire.
18:30 Publié dans À travers mots, Coups de bec | Commentaires (4) | Lien permanent