27 août 2015
Mots appris (33) — Mot à moche
Bien obligée de l'apprendre : il m'est venu tout seul, il s'est imposé à moi. Je le rencontre trop souvent pour mon goût. C'est le « mot à moche ».
L'aval d'un collègue et ami m'a encouragée à le partager avec vous. Faut-il lui souhaiter une belle carrière (au mot à moche, pas à JL, déjà pourvu) ?
Les distingués linguistes parmi nous établiront peut-être un rapport entre
le mot à moche et la Mochlangue.
20:10 Publié dans Coups de bec, Mots appris | Commentaires (0) | Lien permanent
Carte postale – J'aime bien mon quartier
J'aime bien mon quartier. Même en plein mois d'août, on y trouve toujours à manger. Ce n'est pas donné partout dans Paris.
Il y a même sur les étals des espèces inconnues ailleurs. Par exemple, chez le poissonnier, du cabio.
Le choix est d'ailleurs étonnamment vaste. On a deux sortes de pruneaux, l'une plus chère que l'autre. Évidemment, les pruneaux les plus chers sont dénoyautés. Et en toute logique, les moins chers sont noyautés.
Quand je me promène dans mon quartier, je découvre aussi des noms de lieux qui n'existent nulle part ailleurs :
Même quand il donne dans le comique volontaire, il est inventif, mon quartier* :
Tu n'en croiras pas tes yeux, Noble Étranger, de découvrir qu'on peut y venir en métro, dans mon quartier :
Dommage, une facétieuse modernité vient de recouvrir de céramique blanche ces jolies et précieuses indications. Estime-toi heureux que je te les livre, sinon, tu n'arriverais pas jusqu'à chez nous, Visiteur qui seras le bienvenu. Tu l'aimeras, mon quartier.
* J'ignore si Jean-Yves a été retrouvé.
19:27 Publié dans Ronronnements de satisfaction, Vadrouilles intra-Périf | Commentaires (2) | Lien permanent
Intócaveis, 1 + 1, Quasi amici et tutti quanti
Amusantes, non, les multiples versions d'un titre de film, visiblement apprécié dans de nombreux pays ? (Vous pousserez les importuns qui vous cachent les affiches...)
L'exposition sur Gaumont, c'est au 104 (Paris). Ah zut, elle est déjà finie.
19:06 Publié dans Ceci n'est (vraiment) pas d'la critique ciné, Expos | Commentaires (0) | Lien permanent