27 août 2015
Carte postale – J'aime bien mon quartier
J'aime bien mon quartier. Même en plein mois d'août, on y trouve toujours à manger. Ce n'est pas donné partout dans Paris.
Il y a même sur les étals des espèces inconnues ailleurs. Par exemple, chez le poissonnier, du cabio.
Le choix est d'ailleurs étonnamment vaste. On a deux sortes de pruneaux, l'une plus chère que l'autre. Évidemment, les pruneaux les plus chers sont dénoyautés. Et en toute logique, les moins chers sont noyautés.
Quand je me promène dans mon quartier, je découvre aussi des noms de lieux qui n'existent nulle part ailleurs :
Même quand il donne dans le comique volontaire, il est inventif, mon quartier* :
Tu n'en croiras pas tes yeux, Noble Étranger, de découvrir qu'on peut y venir en métro, dans mon quartier :
Dommage, une facétieuse modernité vient de recouvrir de céramique blanche ces jolies et précieuses indications. Estime-toi heureux que je te les livre, sinon, tu n'arriverais pas jusqu'à chez nous, Visiteur qui seras le bienvenu. Tu l'aimeras, mon quartier.
* J'ignore si Jean-Yves a été retrouvé.
19:27 Publié dans Ronronnements de satisfaction, Vadrouilles intra-Périf | Commentaires (2) | Lien permanent
Commentaires
Gros fou-rire pour l'affiche de Jean-Yves... Je crois que c'est le panini au poulet, qui m'a tuée.
Écrit par : Lor | 15 septembre 2015
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Coucou Lor !
Le poulet (et le panini) ne s'en sont pas remis non plus. :)
Écrit par : L'Autre Jour | 15 septembre 2015
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