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14 mai 2012

Je traduis, tu traduis, ils traduisent ? (7) Un couiz !!

Un couiz sur le site de l'ATAA, avec un topo de présentation
sur son blog !

Allez-y, jouez, c'est instructif !

Je vous aide : une piste vers la réponse à une des questions se trouve sur L'Autre Jour.

Vous aurez accès aux soluces après avoir cliqué sur Submit. (<- Ça, c'est pour ceux qui, comme moi, risqueraient de les réclamer à l'ATAA au lieu de lire l'intro comme il faut - Ici : smiley contrit.)

 

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À propos d'une des questions du couiz :

Selon moi, quelqu'un qui traduit un texte, c'est un traducteur. Il n'adapte pas plus en doublage ou en sous-titrage qu'en quelque autre domaine de la traduction
, y compris en technique – et même plutôt moins, à mon avis.

Car traduire, c'est adapter, par définition.
Le domaine où il me semble qu'on adapte le moins, c'est la traduction littéraire, puisqu'on essaie de restituer autant que possible non seulement le sens et le niveau de langue, mais aussi la musique (le rythme, les sonorités...) du texte d'origine.

Ça tombe bien, je voulais justement écrire un billet au sujet de cette histoire d'« adaptateur », qui me paraît relever avant tout d'un certain snobisme. Les collègues sont conviés à confirmer - ou pas - sous forme de commentaires !

 

Pour moi, un adaptateur (dit « SM », en l'occurrence), c'est une personne qui adapte une oeuvre ou un programme audiovisuel du français au français (par exemple), de manière à la sous-titrer pour les sourds et malentendants. Souvent, il s'agit à l'origine d'un traducteur, qui est venu par la suite à cette autre activité.

Le seul autre adaptateur que je connaisse, c'est une sorte de raccord. Un genre de traducteur pour qu'une prise électrique britannique et un rasoir français se comprennent, par exemple :)

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