11 septembre 2013
Marie, mon ciel (22) - Exponuage
Quand il ne fait pas très beau, c'est plus beau...
Vous en revoulez, des nuages ? Voilà qu'ils s'exposent, sous forme de vraies œuvres d'artistes. Merci à Perrine qui me l'a dit !
Ça se passe au musée Réattu d'Arles et vous avez de la chance, ce n'est même pas fini : vous avez jusqu'au 31 octobre.
L'expo s'intitule Nuage et rien que ça, c'est beau.
* Malgré un nom commun (dans presque tous les sens du terme) et le goût des ciels, pas de parenté entre l'une des artistes participantes et moi, ce qui est bien dommage.
** Ce blog est en état de semi-hibernation, en ce moment. Pardon à ses éventuels lecteurs, que je n'oublie pas pour autant :)
20:37 Publié dans Marie, mon ciel ! | Commentaires (0) | Lien permanent
13 novembre 2012
Marie, mon ciel ! (17) Cloud maîtrisé
Je n’ai pas l’air, comme ça, mais de là où je perche, je suis l’actualité, surtout quand j’entends citer mon nom de famille à tout bout de champ. En ce moment, entre les pubs, la presse et les lettres d’info de groupements professionnels qui feraient bien de se mêler de sujets plus terre-à-terre, ça n’arrête pas : « l’informatique dans les nuages » (1), « votre nuage perso de stockage » (2),« indexation live à travers le Cloud pour catchup TV et VOD en fonction de la diffusion live » (3), « la nuagique » (4)… Et le pompon : « le cloud maîtrisé » ! (5)
Pouvez toujours essayer de me maîtriser. Je suis un éthéré, moi, un vrai.
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(Soupir) L’Autre Jour décline une fois de plus toute responsabilité quant à l’invasion de ce blog par des formations atmosphériques, qui s'emparent de cette tribune sans y être invitées. Qu’elles préfèrent suivre un mouvement rétrograde plutôt que l'air du temps est sans doute imputable à de capricieux vents d’automne.
(1) : Lettre d’information de la Sofia (Société française des intérêts des auteurs de l’écrit), juin 2012, « Connaissez-vous le cloud computing ? »
Cloud computing = l’informatique dans les nuages : « Concept qui consiste à déporter sur des serveurs distants le stockage de documents ou de traitements informatiques, traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur les ordinateurs des particuliers. »
(2) + (3) + (5) : pubs
(4) : Tradzine (Bulletin d’information de la SFT, Société française des traducteurs), novembre 2012, article d’Annie Lestrade
20:15 Publié dans La chronique de Vocale Hubert, Marie, mon ciel !, Mots de travers | Commentaires (3) | Lien permanent
07 septembre 2012
Marie, mon ciel ! (14)
L'autre jour, un monstre horrible et vorace a failli engloutir la tour Eiffel.
17:59 Publié dans Marie, mon ciel !, Vadrouilles intra-Périf | Commentaires (2) | Lien permanent
20 juin 2012
Mot appris (11) - Paragrêle + Marie, mon ciel (13)
Salut.
Moi, c'est Supercostaud Cumulus.
Paraît que je dois vous apprendre un mot. Ouais, on est d'accord, c'est n'importe quoi.
D'autant plus que ce mot-là, moi, mon idéal, c'est de le ravager, de le mettre en lambeaux, de le réduire en charpie.
Y mettent ça sur les arbres fruitiers de leurs plantations (ouais, pour les ignares qui ne franchissent jamais le Périf, les plantations, ce n'est pas que sous les tropiques et pas que pour les bananiers). Ça s'appelle « un filet paragrêle ». J'en connais une qui a lu ça dans la presse locale et qui ne s'en remet pas, parce qu'elle croyait qu'on disait plutôt
« antigrêle ». Vous avez vu, le genre de préoccupations ? Observées d'ici, carrément ras-de-terrestres. Et oiseuses, parce qu'on trouve l'un et l'autre. Alors, on va pas tortiller d'la nuée pour pleuvoir droit, hein ?
M'en fous, d'leurs filets. J'adore m'abattre aussi sur leurs jardins en forme de mouchoir de poche, leurs potagers amoureusement cultivés, me faire une razzia de fraises innocentes, une bouillie de framboises en devenir, une purée de tomates à peine rougissantes. Et là, je travaille sans filet. Ah ah, je m'éclate ! Et puis, je bousille un peu leurs bagnoles aussi, les jours de grande forme.
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Comme déjà trop souvent, L'Autre Jour décline toute responsabilité quant au langage et aux propos tenus ici par des créatures animales ou végétales, par des objets, voire par des formations atmosphériques (oui, on aura tout vu - désolée).
Je précise cependant que sauf mention contraire, c'est moi qui les ai pris en photo et qu'il en va de même dans tous les articles de ce blog. Oui, je sais, pas de quoi pavoiser.
22:50 Publié dans La chronique de Vocale Hubert, Mots appris, Volem rien foutre al païs (c) | Commentaires (2) | Lien permanent