Marie, mon ciel ! (6)

Un beau ciel tourmenté, dont on comprend qu'il attire les peintres en ces parages méridionaux. Merci à Vanessa, qui nous l'offre !

N'hésitez pas à m'envoyer vos nuages.

Oui, Lecteur à qui on ne la fait pas, ce blog tombe dans la facilité, en exploitant :

1. ses amis, appelés à contribution pendant que je me les roule ;
2. un filon inépuisable, tant qu'il ne nous tombe pas sur la tête.

Marie, mon ciel ! (5)

Et un petit arc-en-ciel pour te souhaiter la Bonne Année, Lecteur/Lectrice !

Et un double, même. C'est bien parce que c'est toi et que c'est le premier Autre Jour de l'An.

Marie, mon ciel ! (4)

Il est bien, le thème du ciel. Il est inépuisable. Ou alors, le jour où il sera épuisé, nous aurons du souci à nous faire. Hop, le ciel du jour :

Marie, mon ciel ! (3)

Ils s’amusent comme des fous, au Ciel. Un peu obsessionnel tout de même, ce quadrillage.

 

 

 

 

 

 

 

 

Je te le concède, Lecteur légitime à craindre que le ciel et son contenu ne te tombent sur la tête : une certaine organisation de la circulation aérienne, c’est moins fantaisiste mais plus prudent que des loopings de Jumbos (ou de la voltige d'avion gros porteur – n’essaie pas de me coincer sur deux petits anglicismes de rien du tout).

Marie, mon ciel ! (2)

C'est du rab de nuages que vous voulez ? En voilà. L'autre jour (ou peut-être en septembre 2010), j'ai attrapé cette bande de nuages-puces.

 

Marie, mon ciel ! (1)

L'autre jour, j'ai choisi l'habillage de ce blog. Facile, à vrai dire, car le modèle « tout fait » me convenait à merveille. D'abord, il est bleu. Y a-t-il d'autres couleurs que le bleu ? Non, ce serait superflu. Et puis...

• Je vénère la lune, je guette souvent son apparition, je trouve sa présence amicale et rassurante.
  
  

• J'adore contempler les étoiles. Petite, je voulais devenir soit astronome (mon tonton m'apprenait les noms des constellations), soit boulangère (à cause de l'accès direct et infini aux bonbecs). Ça faisait rigoler les adultes, qui ne comprennent rien à rien. Les deux seules choses qui me manquent à Paris, c'est la proximité des animaux et la visibilité des étoiles, qu'on a dans des régions moins couvertes et moins illuminées. Vivement une heure d'extinction totale par an, pour qu'on puisse les voir ici aussi ! Et à bas les panneaux publicitaires imbéciles et autres pollutions lumineuses.
  
  

• Je ne me lasse pas des formes infinies des nuages. D'ailleurs, je me masque souvent derrière l'un d'eux. Non pas que je me prenne pour le soleil, hein. Mais quelque part (= sur le forum d'une certaine association de traducteurs-adaptateurs de l'audiovisuel), il me sert d'avatar.
  
  

Bref, vous n'y couperez pas. Ce blog comportera tôt ou tard (dans 5 minutes ou dans 3 ans, selon l'avancée de mes compétences) des images de nuages. Si j'arrive à les inclure, sachez que sauf information contraire, toutes les photos de L'Autre jour sont de moi. On peut les copier en me citant comme source, mais de toute façon, ce serait idiot, car elles sont très banales et sans qualité technique.

Et voilà ! Ceux-là, je les ai baptisés Nuages griffus ou, à cause de la sonorité spéciale de l'anglais en l'occurrence, Clawed Clouds.