Archives > 2014-10
Dans Sentir le grisou , Georges Didi-Huberman évoque le rôle de l'artiste, sa capacité à anticiper l'histoire et à nous avertir. L'artiste est ici Pier Paolo Pasolini, dont il cite et traduit ce poème, sur les femmes de mineurs victimes d'un coup de grisou (p. 69) :
« E la classe degli scialli neri di lana, dei grembiuli neri da poche lire, dei fazzoletti che avvolgono le facce bianche delle sorelle, la classe degli urli antichi, delle attese cristiane, dei silenzi fratelli del fango e del grigiore dei giorni di pianto, la classe che dà supremo valore alle sue povere mille lire,...
Lire la suite
« Parce que l’orthographe est le 1er critère de jugement [...] S’attacher les services d’un spécialiste s’avère indispensable. »
On ne peut qu'approuver, voire être séduit par la présentation en ligne de cette agence de traduction !
L'ennui est qu'elle fait débuter une autre page de son site par ceci :
« Il existe un grand nombre de logiciels de [...], nous avons essayer réunir les...
Lire la suite
« Traduire, c'est respirer avec. » Au point d'étouffer, parfois.
Il vous reste jusqu'à samedi pour découvrir comment et pourquoi, un jour, la traductrice héroïne de Faute d'impression se met...
Lire la suite
... et encore plus primeur, il est là, le nouveau site de l'ATLF (Associations des traducteurs littéraires de France) ! Quelques détails restent à fignoler mais il sera bientôt tout à fait au...
Lire la suite
Plus de notes disponibles.
Chargement...